Diane
Arbus NOUVEAU
(20-03-2015)
Richard
AVEDON (1923-2004), Biographie.
Richard
Avedon NOUVEAU
(20-03-2015)
Olivier
AMSELLEM
Relecture (11-03-2015)
David
ANCELIN
Relecture (11-03-2015)
David
ANCELIN (le
site)
Relecture (11-03-2015)
Roger
BALLEN, exposition à la BNF.
Relecture (11-03-2015)
Audrey
BARTHES / Michel AMARAL
Relecture (11-03-2015)
Deux photographes qui commencent une oeuvre exigeante
et dont il faut suivre le travail.
Sections,
Découpages, Entours, Bernard Obadia
Alain
BRUNET
Le travail photographique d'Alain Brunet réinterprète
le rapport à l'histoire de la peinture par un jeu de citations.
Mais à côté, en même temps, dans un
geste autre, il "photographie avec la main" ou change
le niveau de perception, donne des visions de la réalité
qui sont inédites et, partant, étranges. Il classe
son travail en donnant des noms de domaines : "Champs",
"Ecrans", "Sols", "interludes porno",
"pare-brises", "rapidité", etc, mais
les uns et les autres cohabitent, fusionnent, se répondent
dans une sorte de grande unité. Suivons ce travail audacieux
et pertinent. Visible et réflexif, en somme. (26-12-08)
William
Eggleston NOUVEAU
(20-03-2015)
Elliot
Erwitt NOUVEAU
(20-03-2015)
Denis
DARZACQ
Relecture (11-03-2015)
Le
site.
actualité l portefeuilles l livres l TEXTES, Presse l expositions
l collections, Commandes, résidences ... l de contact l
plongeurs l privilèges
Gisèle
DIDI
Relecture (11-03-2015)
Gisèle Didi est photographe : elle prend des photos : d'abord
de sa vie (chaque jour de l'année 2001 a ses images dans ses Chroniques
ordinaires), mais aussi des clichés aléatoires, des portraits
d'invités, des instantanés de rencontres. On découvrira également
sur son site des travaux sur des scènes de la vie juive, ou bien
sur les femmes à nattes. Le regard qu'elle y porte est on ne peut
plus personnel, pas du tout complaisant.
(04/09/02)
HCB
Fondation
Henri Cartier Bresson Relecture
(11-03-2015)
Tête
à Tête
Une exposition de la National Gallery de Londres, organisée
en 2000
*La même exposition sur le site du Washington
Post photology.com
Un site de photographies italien qui montre des photos d'Henri
Cartier-Bresson
. (11-08-04)
Tristan
Fortin le Breton No man's land urbains
Relecture (11-03-2015)
Une musique lancinante accompagne l'immersion dans les Territoires
de Tristan Fortin le Breton. Ce photographe québécois
a capté, avec un procédé ancien noir et blanc,
l'âme de terrains vagues en marge du Grand Montréal,
"des lieux sans vocation définie, empreints pour [lui]
d'une rande poésie, conférée par la pression
d'un développement imminent". Plusieurs années
après, il est revenu sur ses pas. Ses clichés anciens
et récents des mêmes endroits révèlent
l'étalement urbain à l'œuvre, "miroir
de notre prospérité et de notre course à
la croissance économique". En complément de
cette balade en apesanteur aux confins de la ville, l'Office national
du film canadien propose de visionner des documentaires datant
des années 1960 et 1970 sur les mutations urbaines.
Simon
Hoegsberg.
Relecture (11-03-2015)
100 mètres à l'échelle existentielle. Le
photographe anglais Simon Hoegsberg est l'auteur de We're all
gonna die, un petit exploit technique : réaliser une photo
de 100 mètres de large mettant en scène 178 personnes
sur un pont de gare à Berlin durant l'été
2007. Dix-sept mois de labeur ont été nécessaires.
Viviane
Maier NOUVEAU
(20-03-2015)
Mary
Ellen Mark NOUVEAU
(20-03-2015)
Joel
Meyerowitz NOUVEAU
(20-03-2015)
Nicéphore
Niépce
Relecture (11-03-2015)
Sous la forme d'un musée, la ville de Chalon-sur-Saône rend hommage
au plus illustre de ses enfants : Nicéphore Niépce. Véritable
inventeur de la photographie, associé de Daguerre, Niépce est
beaucoup moins connu que l'inventeur des daguerréotypes. Grâce
à une biographie et à une présentation de ses travaux, on peut
juger de son apport essentiel. En complément, le musée consacre
des rubriques à la daguerréotypie et à la calotypie, rendant hommage
au passage à Talbot. Talbot, Daguerre, Niépce : trois inventeurs
pour une seule invention.
Martin
Parr NOUVEAU
(20-03-2015)
FILH
Les Planches
Le photographe Filh estime que "le réel ne peut plus
se condenser en une image unique et décisive". Pour
lui, "le monde éclate en mille éclats numériques
et se déforme, se reforme en une fiction photogra-phique
formelle et morcelée (seule façon de toucher le
réel sans qu'il se dérobe) dont les interstices
laissent peut-être quelque espoir d'entrevoir l'autre côté
du décor". Si l'aventure des Planches est aujourd'hui
finie, son "exploration par le nombre se poursuit, toujours
à la recherche d'une voie vers un autre monde". >>
Deviations
(30-10-04)
Alex
Sievers
Galeries
de photos sur la nature et les voyages. Découvrez des photos de villes,
villages, paysages... de tous les continents. Visitez notamment le
portfolio (séries monochromes, paysages ou portraits).
(20-07-04)
Shadow
and light (ombre et lumière)
De très belles images par Nicolai Cornell mais la navigation
dans le site n'est pas aisée. (03-08-05)
Stephen
Shore NOUVEAU
(20-03-2015)
Klavdji
SLUBAN (17-02-13)
Louis
Stettner
Relecture (11-03-2015)
Phillip
TOLEDANO
Relecture (11-03-2015)
Le
photographe américano-marocain
Liens
brisés
©
LittératureS & CompagnieS
R211-03-15
|
"Le
dessin et la couleur ne sont point distincts. Au fur et à mesure
que l'on peint, on dessine. Plus la couleur s'harmonise, plus
le dessin se précise. Quand la couleur est à sa
richesse, la forme est à sa plénitude."
" La lumière et l'ombre sont un rapport de couleurs. Il n'y a ni
peinture claire, ni peinture foncée, mais simplement des rapports de tons.
Quand ceux-ci sont mis avec justesse, l'harmonie s'établit toute seule."
" Faire un tableau, c'est composer. La peinture est l'art de combiner des
effets, c'est à dire d'établir des rapports entre les couleurs,
les contours et les plans." Paul Cézanne
" L'an
dernier j'ai suivi Claude Monet à la recherche d'impressions.
Ce n'était plus un peintre, en vérité,
mais un chasseur. Il allait, suivi d'enfants qui portaient
ses toiles, cinq ou six toiles représentant le même
sujet à des heures diverses et avec des effets différents.
Il les prenait et les quittait tour à tour, suivant
les changements du ciel. Et le peintre, en face du sujet, attendait,
guettait, le soleil et les ombres, cueillait en quelques coups
de pinceau le rayon qui tombe ou le nuage qui passe, et, dédaigneux
du faux et du convenu, les posait sur la toile avec rapidité.
Je l'ai vu saisir ainsi une tombée étincelante
de lumière sur la falaise blanche et la fixer à une
coulée de tons jaunes qui rendaient étrangement
surprenant l'effet de cet insaisissable et aveuglant éblouissement.
Une autre fois, il prit à pleines mains une averse abattue
sur la mer et la jeta sur sa toile. Et c'était bien
de la pluie qu'il avait peinte ainsi, rien que de la pluie
voilant les vagues, les roches et le ciel à peine distincts
sous ce déluge."
La vie d'un paysagiste, 28 septembre Maupassant,
1886
" Dire
que la couleur est redevenue expressive, c'est faire son histoire.
Pendant longtemps, elle ne fut qu'un complément du dessin.
Raphaël, Mantegna ou Dürer, comme tous les peintres
de la Renaissance, construisent par le dessin et ajoutent ensuite
la couleur. Au contraire les Primitifs italiens et surtout
les Orientaux avaient fait de la couleur un moyen d'expression...
De Delacroix à Van Gogh et principalement à Gauguin
en passant par les impressionnistes qui font du déblaiement
et par Cézanne qui donne l'impulsion définitive
et introduit les volumes colorés, on peut suivre cette
réhabilitation du rôle de la couleur, la restitution
de son pouvoir émotif." Matisse (1945)
" L'Art moderne repousse généralement la plupart des moyens
de plaire mis en œuvre par les grands artistes du temps passé [...]
Les peintres nouveaux procurent à leurs admirateurs des sensations artistiques
uniquement dues à l'harmonie des lumières impaires [...]C'est un
art plastique entièrement nouveau. Il n'en est qu'à son commencement
et n'est pas aussi abstrait qu'il voudrait l'être. La plupart des nouveaux
peintres font bien de la mathématique sans le ou la savoir, mais ils n'ont
pas encore abandonné la nature qu'ils interrogent patiemment à cette
fin qu'elle leur enseigne la route de la vie."
Les peintres cubistes, Guillaume Apollinaire 1913
" A
cet égard, on comprend l'hésitation et même
le recul de quelques uns devant la peinture de Nicolas de Staël
d'apparence trop élémentaire pour eux. Ils lui
cherchaient une profondeur, et celle-ci, il la leur présentait,
comme fond les grands artistes, tout en surface, et avec ce
dépouillement qui est si long à obtenir à partir
d'une richesse originelle, dépouillement d'ailleurs
qui n'entame en rien cette richesse. [...] Cette peinture faite à l'aide
des sensations tactiles et motrices, qui emploie la truelle
et le couteau plus que le pinceau, finit par caresser le cœur.
C'est -comment dire ?- une sorte de rêve abstrait."
Portrait posthume de Nicolas de Staël, Jean Grenier 1955
|